2 S - Routes ou grande voirie. Circulation et transports routiers

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Archives départementales de la Drôme

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Cote/Cotes extrêmes

2 S 1-146

Date

1735-1935

Présentation du contenu

Avant le création de la route nationale n°7 en 1824, Napoléon Ier érige par décret impérial du 16 décembre 1811 229 routes à travers l'Empire. Parmi elles, la route impériale n°8. Elle s'étend de Paris à Florence (Italie). À la chute du Premier Empire, elle devient route royale. Avant cette date, la route est désignée, dans les documents antérieurs à 1811, par les termes de « grande route », reliant Lyon (Rhône) à Marseille (Bouches-du-Rhône). Sur certains plans, la route est désignée sous le n°15. Néanmoins, ils demeurent rattachés aux dossiers concernant sa première appellation officielle.

La route nationale n°7 n'a pas toujours été nationale. En fonction des régimes qui se sont succédés, elle a été royale voire impériale. Néanmoins, pour faciliter les choses, dans le présent inventaire, elle sera désignée sous l'adjectif « nationale ». En effet, ce terme est le plus parlant, d'autant qu'il a été popularisé par Charles Trenet, en 1955.

Mots clés matières

Cote/Cotes extrêmes

2 S 45-146

Date

1735-1935

Cote/Cotes extrêmes

2 S 72-95

Date

1824-1930

Présentation du contenu

Pour les travaux d'entretien en rechargement le territoire couvert par la route est réparti entre plusieurs ateliers (ou cantons). Ils sont au nombre de neuf et se répartissent ainsi : le premier atelier, de la limite nord du département à Saint-Vallier, le deuxième, de Saint-Vallier à Tain, le troisième, de Tain à Valence, le quatrième de Valence à la Paillasse, le cinquième de La Paillasse à Loriol, le sixième, de Loriol à La Coucourde, le septième, de La Coucourde à Montélimar, le huitième de Montélimar à Donzère et le neuvième de Donzère à la limite sud du département. Par ailleurs, pour les travaux d'entretien des pavés, deux secteurs sont définis. Le premier s'étend entre la limite nord du département jusqu'au hameau de La Paillasse, inclus. Le second s'étant entre le hameau de La Paillasse et la limite sud du département. Le premier correspond à l'arrondissement de Valence, le second à celui de Montélimar.

Cote/Cotes extrêmes

2 S 77-78

Date

1837-1930

Présentation du contenu

Plans, rapports, pétitions, avis, délibérations, jugements, procès-verbal, notes, correspondance.

Celles-ci peuvent concerner des problèmes relatifs à l'écoulement des eaux pluviales et à leur infiltration chez des particuliers, des dégradations et désagréments dus aux travaux et des travaux urgents à opérer, des défauts d'entretien de certains ouvrages, des litiges avec les entrepreneurs de travaux, voire des demandes de subventions pour des travaux. À signaler que, dans la mesure du possible, les plaintes, demandes et réclamations ont été intégrées aux dossiers de travaux concernés par celles-ci.

Albon : hameau de Bancel (1837). Andancette (1926). Bourg-lès-Valence (1877-1930). Châteauneuf-du-Rhône (1869). Donzère (1876-1923). Érôme : traverse (1899-1900) ; hameau de Gervans (1886-1887). Étoile-sur-Rhône : hameau de La Paillasse (1914). Fiancey (1859-1861). La Coucourde (1917-1929). La Roche-de-Glun : quartier des Charassis (1863). Lachamp : hameau de La Coucourde (1893). Laveyron (1855-1901). Livron-sur-Drôme (1843-1928). Loriol-sur-Drôme (1909-1930). Montélimar (1851-1903).