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Avant le création de la route nationale n°7 en 1824, Napoléon Ier érige par décret impérial du 16 décembre 1811 229 routes à travers l'Empire. Parmi elles, la route impériale n°8. Elle s'étend de Paris à Florence (Italie). À la chute du Premier Empire, elle devient route royale. Avant cette date, la route est désignée, dans les documents antérieurs à 1811, par les termes de « grande route », reliant Lyon (Rhône) à Marseille (Bouches-du-Rhône). Sur certains plans, la route est désignée sous le n°15. Néanmoins, ils demeurent rattachés aux dossiers concernant sa première appellation officielle.
La route nationale n°7 n'a pas toujours été nationale. En fonction des régimes qui se sont succédés, elle a été royale voire impériale. Néanmoins, pour faciliter les choses, dans le présent inventaire, elle sera désignée sous l'adjectif « nationale ». En effet, ce terme est le plus parlant, d'autant qu'il a été popularisé par Charles Trenet, en 1955.
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Pour les travaux d'entretien en rechargement le territoire couvert par la route est réparti entre plusieurs ateliers (ou cantons). Ils sont au nombre de neuf et se répartissent ainsi : le premier atelier, de la limite nord du département à Saint-Vallier, le deuxième, de Saint-Vallier à Tain, le troisième, de Tain à Valence, le quatrième de Valence à la Paillasse, le cinquième de La Paillasse à Loriol, le sixième, de Loriol à La Coucourde, le septième, de La Coucourde à Montélimar, le huitième de Montélimar à Donzère et le neuvième de Donzère à la limite sud du département. Par ailleurs, pour les travaux d'entretien des pavés, deux secteurs sont définis. Le premier s'étend entre la limite nord du département jusqu'au hameau de La Paillasse, inclus. Le second s'étant entre le hameau de La Paillasse et la limite sud du département. Le premier correspond à l'arrondissement de Valence, le second à celui de Montélimar.
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Les dossiers peuvent contenir des plans, dessins, devis, détails estimatifs, avis, procès-verbaux d'adjudication, d'avarie, de réception, soumissions, tableaux de dépouillement des soumissions, extraits de rôles et de matrices cadastrales, arrêtés, actes de cautionnement, rapports, états de la situation générale et définitive, observations, bordereaux, conventions, réclamations, attestations, délibérations, procurations en brevet, états des journées, certificats de paiement, notes et correspondance.
A défaut de procès-verbaux d'adjudication ou de soumissions approuvées par le préfet ou de mention de ces dates sur tout autre document, la date d'approbation par le ministère des travaux publics a été prises en compte afin de classer les travaux.
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- Adjudication du 1er juillet 1843, réparation des avaries survenues auxd fondations du pont sur la Drôme à Livron (1842-1847).
- Soumission approuvé le 24 juin 1843, reconstruction de la digue en amont du pont de Réaille sur la commune de Rac, entre Montélimar et Donzère (1843-1844).
- Approbation du 23 octobre 1843, enrochement des piles et des culées du pont sur la Galaure à Saint-Vallier (1843-1844).
- Adjudications des 4 novembre et 15 décembre 1843, entretien et réparation des chaussées pavées entre la limite nord du département et Loriol et entre Loriol et la limite sud du département pour les années 1844, 1845 et 1846 (1844-1847).
- Adjudication du 8 mars 1845, rectification du cours de l'Isère au niveau de la digue du quartier des Îles à Châteauneuf-sur-Isère, en amont du pont de La Roche-de-Glun (1845).
- Adjudications du 21 juin 1845, exhaussement de la digue sur la rive gauche de l'Isère et enrochement autour des piles et des culées du pont de La Roche-de-Glun (1843-1847).
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