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Cote/Cotes extrêmes
Date
Organisme responsable de l'accès intellectuel
Origine
Biographie ou Histoire
Auguste Pelorson, Paul Tiran et Joseph Bonnardel sont parents par alliance.
En 1907, Auguste Pelorson épouse Jeanne Louise Bonnardel. Elle est la tante de Joseph Bonnardel et de Marie-Louise Riffard qui épousera Paul Tiran en 1930.
Modalités d'entrées
Documents prêtés pour numérisation en 2013 dans le cadre de la Grande collecte du centenaire de la Première guerre mondiale.
Présentation du contenu
Documents concernant Auguste Pelorson, Paul Tiran et Joseph Bonnardel, tous trois combattants de la Première guerre mondiale.
Cote/Cotes extrêmes
Date
Biographie ou Histoire
Paul Tiran est né le 18 août 1896 à Valence. En 1914, il est étudiant. Il s'engage le 23 décembre 1914 au 5ème régiment d'artillerie lourde. Il passe au 6ème régiment d'artillerie le 1er juillet 1915 et part aux armées. Il est blessé par balle à la main gauche à Saint-Hilaire le 7 novembre 1915. Il est soigné à l'intérieur puis intègre le service auxilaire. Il intègre le 11ème régiment de dragons le 8 mars 1917, toujours au service auxiliaire, puis le 8ème escadron du train le 30 mai. Il repart aux armées le 14 octobre 1918, intègre le 4ème escadron du train le 17 octobre, puis le 20ème le 1er janvier 1919. Il est démobilisé le 27 mars 1919.
Après guerre, il intègre la tonnellerie mécanique familiale (Tiran Frères, créée en 1830) comme employé, puis comme directeur commercial.
Il épouse Marie-Louise Riffard, née le 4 juin 1906, à Guillerand-Granges le 1er juillet 1930.
Mots clés personnes
Cote/Cotes extrêmes
Mots clés matières
Biographie ou Histoire
Sur plusieurs photogaphies, on retrouve Auguste Grivelet, un ami d'étude de Paul Tiran. Il est né le 26 octobre 1896 à Nuits-Saint-Georges (Côte-d'Or). Comme Paul Tiran, il s'engage volontairement à la mairie de Valence dans le 5ème régiment d'artillerie le 8 janvier 1915.
Il passe au 113ème régiment d'artillerie lourde le 1er novembre 1915, puis au 135ème le 1er mars 1918. Il est blessé par un éclat d'obus à la main le 10 juillet 1918 en Champagne et doit être évaucué. Il est démobilisé le 16 septembre 1919.
Il devient négociant en vins.