Autres Cotes
Date
Organisme responsable de l'accès intellectuel
Importance matérielle
Caractéristiques physiques
Origine
Biographie ou Histoire
Ce travail trouve son aboutissement dans la présente publication. La sous-série 4 Q des Archives départementales ayant pour vocation d'accueillir les documents hypothécaires, c'est sous cette cote qu'ils ont été identifiés. Le premier tome comprend les archives des bureaux de Die, Montélimar et Nyons pour toute la période où ils ont existé. Créés par la loi du 11 brumaire an VII, ces bureaux furent supprimés par le décret du 1er octobre 1926 qui, réorganisant profondément les ressorts des conservations des hypothèques, ne maintint, pour l'ensemble du département, que celle de Valence. Les bureaux ainsi supprimés ne cessèrent toute activité qu'au début de 1927.
Aucun de ces bureaux n'a conservé l'intégralité de ses archives. Les principales lacunes relevées, de l'ordre d'un registre au moins, sont recensées dans la première annexe de ce répertoire. Il convient toutefois de noter que les transcriptions des actes de mutation des bureaux de Die et Nyons sont complètes à l'exception du premier volume de l'an VII. L'absence des premiers volumes du répertoire des formalités des bureaux de Die et de Nyons rend toute recherche difficile sur les débuts de ces conservations.
Le ressort de ces bureaux est celui de l'arrondissement dans le chef-lieu duquel ils sont implantés. Voici pour chacun d'eux la liste des cantons en dépendant : Die (cantons de Bourdeaux, La Chapelle-en-Vercors, Chatillon-en-Diois, Crest-Nord, Crest-Sud, Die, Luc-en-Diois, La Motte-Chalancon, Saillans), Montélimar (cantons de Dieulefit, Grignan, Marsanne, Montélimar, Pierrelatte), Nyons (cantons de Buis-les-Baronnies, Nyons, Rémuzat, Séderon).
Définition : Sûreté réelle portant sur un bien immeuble, l'hypothèque, sans déposséder le propriétaire du bien, permet au créancier non payé à l'échéance de la dette de saisir le bien, en quelque main qu'il se trouve, pour se faire payer sur son prix de vente par préférence aux autres créanciers. Extrait de l'article Hypothèque de l'Encyclopaedia Universalis.
L'hypothèque est un droit qui grève un immeuble, bâti ou non bâti, pour garantir le paiement d'une créance. Elle donne ainsi au créancier l'assurance, au cas où la dette contractée ne serait pas acquittée à la date prévue, de pouvoir être payé sur le prix de la vente forcée de l'immeuble grevé, c'est le "droit de préférence", même si le bien hypothéqué a changé de mains, c'est le "droit de suite". La préférence des créanciers entre eux est déterminée selon leur "rang", c'est à dire selon la date d'inscription de leur hypothèque, la plus ancienne correspondant à l'ordre le plus haut dans le rang. L'hypothèque peut porter exceptionnellement sur un bien meuble (avion, bateau,...).
Les différentes sortes d'hypothèques.
Extinction de l'hypothèque : l'hypothèque disparaît soit lorsque la créance garantie est éteinte, soit par renonciation du créancier à l'hypothèque, soit par la procédure de la purge de l'hypothèque, soit par prescription. Cette extinction est matérialisée par la radiation de l'inscription de l'hypothèque.
La conservation des hypothèques.Les régimes antérieurs à l'an VII.La formalité de l'hypothèque remonte à l'Ancien Régime, mais elle est alors le plus souvent générale et secrète. Cette absence de définition précise des biens grevés d'une part, le caractère secret de ce privilège donné à un créancier d'autre part, s'avèrent être de lourds obstacles au développement du crédit foncier. Pour y remédier, le législateur sous la Révolution met en place les bases de notre système actuel, notamment en instaurant la publicité des hypothèques et le principe de leur spécialité.
La loi du 9 messidor an III établit un régime hypothécaire dont les caractéristiques principales sont de soumettre les hypothèques à la publicité et de créer les bureaux de la conservation des hypothèques. Ce régime, dont l'application après plusieurs reports fut prorogée indéfiniment par la loi du 28 vendémiaire an V, n'est jamais entré en vigueur.
Le régime de l'an VII.Le 11 brumaire an VII, une loi instaure le nouveau régime hypothécaire qui remplace celui du 9 messidor an III. Cette loi conserve le principe de la publicité des hypothèques, elle en rend obligatoire l'inscription, ainsi que la transcription des actes de mutations. Elle pose également le principe de la spécialité de l'hypothèque. Les fondements de l'hypothèque moderne sont ainsi définis.
L'article 55 de la loi du 11 brumaire an VII annonce qu'il sera incessamment statué sur l'organisation du bureau général et des bureaux particuliers de la conservation des hypothèques. C'est l'objet de la loi du 21 ventôse an VII relative à l'organisation de la conservation des hypothèques. Celle-ci, dans son article 2 détermine qui' il y aura un bureau de la conservation des hypothèques par chaque arrondissement de tribunal de police correctionnelle. Après la constitution de l'an VIII, ce ressort est celui de l'arrondissement administratif alors créé. Un décret du 1er octobre 1926 portant suppression de bureaux de conservation des hypothèques remanie profondément ce découpage. Il se traduit dans la Drôme par la suppression des bureaux de Die, Montélimar et Nyons qui sont rattachés à celui de Valence, dorénavant seul bureau de conservation des hypothèques dans la Drôme.
Le régime mis en place en l'an VII est peu remanié par la suite. La loi du 28 ventôse an VII relative aux privilèges et hypothèques, qui constitue le titre IV du livre III du Code civil, ne maintient le principe de la spécialité que pour l'hypothèque conventionnelle. La réglementation de la transcription en matière hypothécaire est actualisée par la loi du 23 mars 1855.
Ce sont les archives produites par cette nouvelle administration qui font l'objet du présent répertoire.
Les formalités hypothécaires.Les formalités hypothécaires sont de deux sortes : l'inscription, qui détermine le rang des hypothèques entre créanciers, et la transcription des actes de mutations.
L'inscription.Les inscriptions hypothécaires doivent être opérées au bureau de la conservation des hypothèques dans le ressort duquel sont situés les biens soumis à hypothèque. Pour la période antérieure à 1927, ce ressort est l'arrondissement. Dans le cas où le bien sur lequel pèse l'hypothèque s'étend sur deux arrondissements, l'inscription doit en être faite auprès des deux conservations.
En principe, l'inscription n'a pas lieu d'office. Elle ne peut être opérée que sur la réquisition d'un des créanciers ou de leur représentant.
Les éléments nécessaires à l'inscription : la personne qui requiert l'inscription doit présenter au conservateur des hypothèques d'une part l'original ou l'expédition authentique de l'acte ou du jugement qui donne naissance à l'hypothèque, d'autre part deux bordereaux contenant les informations suivantes
Durée de l'inscription : l'effet utile d'une inscription, c'est à dire le droit donné au créancier d'exercer son droit de préférence ou son droit de suite, dure pendant dix ans à compter de sa date. Avant l'expiration de ce délai, il est nécessaire d'en effectuer le renouvellement pour lui conserver sa pleine efficacité pour dix ans de nouveau à compter de la date de son renouvellement. Dans le cas contraire, l'inscription est périmée.
Radiation de l'inscription : l'inscription est rayée soit volontairement par mainlevée du créancier, soit de façon forcée par jugement.
La transcription.La transcription consiste dans la copie de tout acte translatif de propriété immobilière entre vifs ou à tout acte portant renonciation à ces droits, ou de tout jugement d'adjudication autre que celui rendu sur licitation au profit d'un cohéritier ou d'un copartageant.
La transcription doit être opérée dans l'arrondissement où sont situés les biens immeubles. Si ceux-ci sont dans des arrondissements différents, la transcription doit être faite dans chacune des conservations concernées.
L'obligation de faire transcrire incombe à celui qui doit profiter de la transcription : au donataire lorsqu'il s'agit d'une donation, à l'acquéreur s'il s'agit d'une vente. Cependant le vendeur et le donateur peuvent y faire procéder eux-mêmes lorsqu'ils y ont intérêt.
Forme de la transcription : le conservateur des hypothèques est tenu de transcrire intégralement soit l'expédition du jugement ou de l'acte, s'il a été passé dans la forme authentique, soit un des doubles de l'acte s'il s'agit d'un acte sous seings privés. Cependant, lorsqu'un acte contient des stipulations de diverses natures et indépendantes les unes des autres, dont les unes sont sujettes à transcription et non les autres, la transcription peut être partielle. C'est notamment le cas des contrats de mariage.
Durée de la transcription : la transcription, contrairement à l'inscription, ne se périme pas au bout de dix ans.
Modalités d'entrées
A la fin de 1989, les services d'archives de la Drôme reçoivent un important versement de la conservation des hypothèques. Il complète les fonds précédemment déposés, et notamment ceux des bureaux de Die, Montélimar et Nyons dont l'ensemble des documents en relevant est désormais conservé aux Archives départementales.
Présentation du contenu
Souvent méconnues, les archives des conservations des hypothèques sont pourtant une des sources les plus importantes, avec celles des bureaux de l'enregistrement, pour l'histoire de la propriété foncière aux XIXe et XXe siècles. Mais plus encore, elles ouvrent des champs de recherches non négligeables pour l'histoire économique et sociale : mesure de l'endettement des campagnes à mettre en regard avec la qualité des récoltes, par exemple. Le généalogiste quant à lui, grâce aux tables alphabétiques notamment, peut y trouver des pistes familiales, ou reconstituer la circulation des biens immeubles entre les familles. Les directions de travaux ne sauraient se réduire à ces quelques exemples, et le but de cette publication est d'en favoriser le développement.
Définition : ce sont les registres sur lesquels sont portées par ordre de date les inscriptions d'hypothèques et les transcriptions d'actes de mutation et de saisie. Leur tenue est réglementée par les articles 16 et 17 de la loi du 21 ventôse an VII : Les registres servant à recevoir les actes du nouveau régime hypothécaire seront en papier timbré ; les préposés les feront coter et parapher à chaque feuillet&Les actes seront datés et consignés de suite, sans blanc, et jour par jour ; ils seront numérotés suivant le rang qu'ils tiendront dans les registres, et signés du préposé.
Les différents registres : les registres de formalités sont : 1) le registre de dépôt ; 2) le registre des inscriptions ; 3) le registre de transcription des actes de mutation ; 4) le registre de transcription des saisies immobilières. À cette énumération, il convient d'ajouter le registre destiné à l'enregistrement d'actes concernant les saisies immobilières, supprimé à dater du 1er janvier 1886 par l'instruction 2720.
Ces registres, cotés en continu par l'administration des hypothèques, forment un tout. Pour maintenir cette cohésion, ils sont réunis dans ce répertoire sous le titre factice de registre destiné à l'enregistrement d'actes concernant les saisies immobilières. Ce registre n'est plus tenu à compter du 1er janvier 1886, conformément à l'instruction 2720 de l'administration des hypothèques.
Les registres d'ordre.Définition : les registres d'ordre intérieurs sont destinés à faciliter les recherches du conservateur des hypothèques. Leur tenue est prescrite par l'article 18 de la loi du 21 ventôse an VII stipulant ; Outre les registres mentionnés à l'article 16 [les registres de formalités], les préposés tiendront un registre sur papier libre, dans lequel seront portés par extrait, au fur et à mesure des actes, sous le nom de chaque grevé, et à la case qui lui sera destinée, les inscriptions à sa charge, les transcriptions, les radiations, et les autres actes qui le concernent, ainsi que l'indication des registres où chacun de ces actes sera porté, et les numéros sous lesquels ils y seront consignés.
Les différents registres : les registres d'ordre sont, dans l'ordre de leur rédaction : 1) le répertoire des formalités hypothécaires, 2) la table alphabétique du répertoire des formalités hypothécaires, 3) le registre indicateur de la table alphabétique du répertoire des formalités hypothécaires.
A. Brochier, C. Journé, B. Poinas sous la direction de M.Nathan-Tilloy, La Drôme sous la Révolution. Situation administrative des communes (1790-an VIII), Valence, Archives départementales de la Drôme, 1989.
A partir de 1927, l'ensemble du département de la Drôme ne ressort que d'un seul bureau, celui de Valence.Mode de classement
Il parut alors souhaitable de faciliter l'accès des chercheurs à ces fonds, principalement en reprenant et complétant le travail de répertoriage entrepris précédemment par Mme Colette Cros. Dans l'optique d'informatisation du service, la cotation a par la même occasion été ramenée à trois éléments. Cette tâche a été menée à bien grâce au renfort de quatre étudiants embauchés pour un mois pendant l'été par le Conseil Général de la Drôme.
Ce répertoire recense les archives des bureaux de Die, Montélimar et Nyons, de leur création à leur suppression.
Pour chaque bureau, les registres de formalités précèdent les registres d'ordre. Les premiers sont classés dans l'ordre retenu par le Code civil : registres de dépôt, d'inscriptions, de transcriptions et de transcriptions de saisies immobilières, augmenté des ''registres destinés à l'enregistrement d'actes concernant les saisies immobilières''. Un registre d'inscription des originaux des procès-verbaux d'huissier constatant l'apposition d'affiche pour parvenir à la vente forcée d'un immeuble trouvé dans le fonds du bureau de Die pour 1806 a été classé en fin des registres de formalités de ce bureau.
Les registres d'ordre sont classés dans l'ordre logique de leur utilisation : registre indicateur de la table alphabétique, table alphabétique puis répertoire des formalités.
Tous les registres sont cotés en continu, de 4 Q 1, premier registre de dépôt de Die, à 4 Q 4623, dernier volume du répertoire de Nyons. Le numéro attribué par la conservation des hypothèques, et qui permet de les retrouver lorsque sont utilisés les registres d'ordre, est mentionné pour chacun d'eux entre crochets à la fin de leur analyse.
Registre de dépôt des bordereaux et titres | |
Numéro du bureau | Dates extrêmes |
1-24 | an VI - 4 juin 1840 |
41-46 | 18 mars 1853 - 23 juillet 1857 |
55-61 | 26 février 1862 - 20 juillet 1866 |
65-74 | 14 février 1868 - 27 décembre 1873 |
Registre des inscriptions des créances | |
Numéro du bureau | Dates extrêmes |
1 | an VII (?) |
6-7 | 30 prairial an VII - 20 ventôse an VIII |
10 | 8 floréal an IX - 12 brumaire an X |
23-25 | 4 mai 1807 - 12 janvier 1809 |
297-449 | 23 août 1871 - 22 novembre 1900 |
Registre des transcriptions des actes de mutation | |
Numéro du bureau | Dates extrêmes |
1 | an VII (?) |
Registre des transcriptions des saisies immobilières | |
Numéro du bureau | Dates extrêmes |
1-2 | an VII - 20 octobre 1809 |
5-8 | 20 juillet 1812 - 17 juillet 1820 |
11-13 | 3 décembre 1822 - 3 janvier 1829 |
20 | 13 août 1837 - 25 mars 1839 |
22 | 25 mai 1840 -17 juillet 1842 |
31-32 | 11 mai 1849-27 octobre 1849 |
48 | 30 janvier 1863 - 15 octobre 1864 |
51-52 | 20 décembre 1866 - 13 juillet 1869 |
Registre des dénonciations des saisies immobilières | |
Numéro du bureau | Dates extrêmes |
3 | 9 novembre 1812 - 30 novembre 1819 |
7-8 | 22 novembre 1834 -25 mai 1840 |
10 | 12 avril 1843 - 10 juin 1844 |
17 | 10 juillet 1867 - 27 avril 1877 |
Répertoire des formalités hypothécaires | |
Numéro du bureau | Observations |
1-9 | les 9 premiers volumes manquent. |
Registre de dépôt des bordereaux et titres | |
Numéro du bureau | Dates extrêmes |
1-12 | an VII - 5 septembre 1831 |
20-21 | 8 décembre 1837 - 1er juillet 1839 |
27 | 4 février 1843-2 octobre 1843 |
31-34 | 16 juillet 1845 - 25 octobre 1847 |
36 | 1er juillet 1848 - 24 janvier 1849 |
40 | 17 février 1851 - 3 novembre 1851 |
49 | 10 juin 1856 - 8 novembre 1856 |
70 | 6 mars 1866 - 19 septembre 1866 |
74-87 | 5 février 1868 - 24 décembre 1874 |
Registre des inscriptions des créances | |
Numéro du bureau | Dates extrêmes |
11 | 7 janvier 1807- 14 janvier 1808 |
82 | 1er juin 1830-4 octobre 1830 |
228 | 23 octobre 1857 - 3 décembre 1857 |
247 | 2 juillet 1860 -28 août 1860 |
259 | 21 août 1862 - 17 octobre 1862 |
376-380 | 17 mai 1882 - 10 mars 1883 |
382-494 | 23 mai 1883 - 28 novembre 1900 |
Registre des transcriptions des saisies immobilières | |
Numéro du bureau | Dates extrêmes |
13-14 | 12 août 1837 - 19 octobre 1839 |
18-19 | 11 mai 1842 - 14 novembre 1843 |
21 | 1er juillet 1844 - 3 avril 1845 |
24 | 16 octobre 1846 - 27 mars 1847 |
31 | 11 octobre 1849 - 9 mars 1850 |
35 | 31 mai 1851 - 27 décembre 1851 |
39-41 | 12 janvier 1856 - 22 mai 1858 |
47 | 17 février 1860 - 20 octobre 1860 |
53 | 31 octobre 1864 - 27 mai 1865 |
57 | 20 août 1867 - 26 mars 1868 |
61-62 | 1er juin 1871 - 6 février 1873 |
66 | 22 juillet 1875 - 17 mai 1876 |
68 | 9 janvier 1877 - 22 novembre 1877 |
76-77 | 27 mai 1884 - 12 janvier 1886 |
79 | 21 janvier 1887 - 18 octobre 1887 |
82-83 | 18 juin 1890 - 2 décembre 1892 |
85 | 25 juin 1894 - 29 août 1895 |
87 | 18 février 1897 - 4 mars 1898 |
94-95 | 27 décembre 1904 - 16 juillet 1910 |
Registre des dénonciations des saisies immobilières | |
Numéro du bureau | Dates extrêmes |
1 | an VII (?) - 5 mai 1812 |
Registre de dépôt des bordereaux et titres | |
Numéro du bureau | Dates extrêmes |
1-7 | an VII-22 juillet 1826 |
13-42 | 19 novembre 1833 - 28 avril 1864 |
44-56 | 24 mars 1865 - 20 septembre 1875 |
Registre des inscriptions des créances | |
Numéro du bureau | Dates extrêmes |
1 | an VII (?) |
123 | 27 février 1855- 9 juillet 1855 |
128 | 17 juillet 1856 - 6 novembre 1856 |
175 | 8 décembre 1869 - 17 février 1870 |
180 | 19 avril 1871 - 24 août 1871 |
199-284 | 3 avril 1877 - 11 janvier 1901 |
Registre des transcriptions des actes de mutation | |
Numéro du bureau | Dates extrêmes |
1 | an VII (?) |
Registre des transcriptions des saisies immobilières | |
Numéro du bureau | Dates extrêmes |
1-2 | an VII - 28 juillet 1817 |
4 | 8 juin 1824 - 17 août 1827 |
7-12 | 4 juin 1833 - 25 octobre 1844 |
16 | 4 décembre 1848 - 30 juin 1849 |
31 | 26 février 1867 - 28 février 1868 |
35 | 24 février 1873 - 8 janvier 1874 |
47 | 4 mai 1889 - 28 avril 1890 |
50 | 24 avril 1893 - 8 avril 1895 |
54-55 | 5 septembre 1901 - 31 mars 1908 |
Registre des dénonciations des saisies immobilières | |
Numéro du bureau | Dates extrêmes |
3 | 28 octobre 1832 - 27 octobre 1834 |
7 | 8 octobre 1850 - 10 juillet 1854 |
Répertoire des formalités hypothécaires (première série) | |
Numéro du bureau | |
1-14 | les 14 premiers volumes au moins de la première série du répertoire manquent. (Seul le volume numéro 15 a été conservé) |
Conditions d'accès
Selon l'instruction n°DAF/DPACI/RES/2009/025 du 25 novembre 2008, conformément au 3° du I de l'article L. 213-2 du code du patrimoine dans sa rédaction issue de la loi du 15 juillet 2008, les registres de formalité deviennent communicables de plein droit à quiconque en fait la demande à l'expiration d'un délai de cinquante ans. Les registres d'ordre, qui constituent les clés d'accès à ces registres, sont eux, immédiatement communicables librement.
Autre instrument de recherche
Le second tome du fonds de la conservation des hypothèques, recensant les archives du bureau de Valence, ne paraîtra qu'après le versement définitif aux Archives départementales de l'ensemble des documents de ce bureau encore conservés par l'administration des hypothèques, notamment des registres d'ordre.
Autres données descriptives
Tous les articles se présentent matériellement sous la forme de registres. Les numéros entre crochets carrés sont les numéros d'origine affectés aux registres par les conservateurs des hypothèques
Cote/Cotes extrêmes
Date
Mots clés lieux
Cote/Cotes extrêmes
Date
Cote/Cotes extrêmes
Date
Cote/Cotes extrêmes
Date
Particularité physique
Présentation du contenu
Ce registre fait suite au 4 Q 3167 Volume n° 927.
Ce registre doit être consulté en parallèle avec les registres 4 Q 3168 Volume n° 928 et 4 Q 3170 Volume n° 930.
Ce registre recouvre uniquement les périodes suivantes : du 18 avril 1919, du 22 au 29 avril 1919, du 3 au 6 mai 1919 et du 8 mai 1919.
Ce registre est suivi par le 4 Q 3171 Volume n° 931.